Les appareils mobiles des Canadiens comportent plusieurs applications qui recueillent des renseignements personnels, y compris des identifiants intégrés à différentes composantes des appareils. Mais, quels sont précisément ces identifiants et comment sont-ils utilisés?
Le rançongiciel est un type de logiciel malveillant (maliciel) qui, une fois installé sur un appareil ou un système, bloque l’accès à l’appareil ou au système ou encore à son contenu ou à ses applications. Vous n’avez alors d’autre choix que de verser une rançon pour rétablir toutes les fonctions de l’appareil. Des pirates informatiques ciblent des renseignements personnels ou sensibles au moyen d’un rançongiciel ou y ont accès en fouinant dans les ordinateurs ou les réseaux d’une organisation. Divers appareils sont touchés, notamment ceux utilisant une plateforme Windows, OS X ou Android. Des pirates ont ainsi attaqué des fournisseurs de soins de santé, des services de police, des écoles publiques, des universités et divers types d’entreprises ainsi que des internautes. Et le problème ne cesse de prendre de l’ampleur : selon les estimations de Symantec, les Canadiens ont été victimes de plus de 1 600 attaques par rançongiciel chaque jour en 2015.
Lorsque nous naviguons en ligne, nous rencontrons une foule d’accords d’utilisation. Lisez-vous toutes les modalités qui régissent l’utilisation d’un site ou appuyez-vous simplement sur le bouton « J’accepte » pour pouvoir poursuivre votre navigation?
« Vous êtes sans doute le pirate le plus pitoyable dont il m’ait été donné d’entendre parler », ricane le commodore Norrington, officier local, dans une scène de Pirate des Caraïbes.
Les enfants sont de plus en plus branchés et ont souvent une bonne longueur d’avance sur leurs parents lorsqu’il s’agit de naviguer sur Internet et dans les applications mobiles.
Le ratissage pour la protection de la vie privée portant sur les applications mobiles effectué l’automne dernier sous l’égide du Global Privacy Enforcement Network (GPEN) continue d’avoir des retombées positives pour les consommateurs en 2015.