Cette semaine, nous lançons sur notre site Web un nouvel outil en ligne dans le but d’aider les entreprises à mieux protéger les renseignements personnels de leurs clients et de leurs employés.
Dans le monde technologisé et hyper branché dans lequel nous vivons aujourd'hui, la protection de la vie privée est une chose souvent difficile à obtenir, et tout aussi difficile à garantir. C'est vrai non seulement en ce qui a trait aux types de renseignements qu'on communique, mais aussi aux types de renseignements qu'on recueille. Pour une petite entreprise, cette tâche s'avère souvent décourageante parce qu'il n'est pas toujours viable d'affecter une équipe (ou une personne) uniquement à la tâche de déterminer les types de renseignements à recueillir.
Le CPVP lance l’édition 2010 du concours de vidéos Ma vie privée et moi, à l’intention des jeunes de 12 à 18 ans — et les grands gagnants se mériteront un iPad!
La décision de se soumettre à des tests génétiques est souvent motivée par des raisons personnelles ou par une inquiétude sérieuse d’ordre médical, tels que des antécédents familiaux ou des maladies héréditaires. Traditionnellement, de tels tests étaient effectués dans un cadre médical par des professionnels de la santé, y compris des conseillers en génétique, qui expliquent les enjeux scientifiques et éthiques associés à ces test et aident les patients à interpréter les résultats.
Louise joue un rôle central de nos Consultations sur la vie privée des consommateurs, qui arrivent à grand pas. Louise, comme beaucoup de Canadiennes et de Canadiens, mène une grande partie de ses activités en ligne... elle achète des vêtements et des livres, elle met à jour son profil sur Facebook, et elle ne sort jamais sans son iPhone.
Tard dans la journée d’hier, la commissaire à la protection de la vie privée du Canada ainsi que les autorités de protection des données de l’Allemagne, de l’Espagne, de la France, de l’Irlande, d’Israël, de l’Italie, de la Nouvelle-Zélande et du Royaume-Uni ont envoyé une lettre au chef de la direction de Google, Eric Schmidt, pour lui faire part de leurs préoccupations liées à Google Buzz.
En cette Journée de la protection des données 2010, nous souhaitons rappeler à tout le monde qu’il incombe à la population et aux entreprises de protéger les renseignements personnels.
Vos parents et amis ont-ils inscrit des jouets sur leur liste de cadeaux? Un animal en peluche pour un bambin… un téléphone cellulaire pour un ado? De nos jours, ces jouets et gadgets n’ont pas les mêmes limites qu’auparavant. Il n’y a pas si longtemps, les animaux en peluche n’avaient qu’une fonction : les câlins — et un téléphone n’était… qu’un téléphone! Aujourd’hui, plusieurs animaux en peluche sont munis d’un code grâce auquel les enfants peuvent les enregistrer en ligne — pour jouer à des jeux, les nourrir et en prendre soin, et même clavarder et jouer avec d’autres enfants. Quant aux téléphones cellulaires, ils regroupent souvent téléphone, ordinateur et caméra, tout en un.
C’est aussi le 20e anniversaire du jour où l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Convention relative aux droits de l’enfant. Il s’agit d’une étape déterminante qui a fait de la vie privée l’un des droits fondamentaux de la personne pour tous ceux qui ont moins de 18 ans.
De nouveau en pleine campagne électorale fédérale, un certain nombre d’enjeux politiques ayant une incidence sur la protection de la vie privée sont en suspens jusqu’au 15 octobre. Le débat sur les droits d’auteur était l’un des enjeux les plus litigieux devant les Communes et l’un de ceux qui a le plus vivement intéressé les Canadiennes et les Canadiens partout au pays. Avant le déclenchement des élections, nous avons reçu une lettre de James Pew, propriétaire d’un studio d’enregistrement à Toronto. Il souhaitait, à titre de propriétaire de petite entreprise, exprimer ses préoccupations concernant le projet de législation sur les droits d’auteurs; il précisait que le projet « ne tenait pas compte des besoins des consommateurs et des créateurs canadiens qui exploitent les possibilités qu’offre la technologie numérique ». (Vous pouvez consulter la version intégrale de sa lettre dans son blogue.)