Notre train-train quotidien est saisi sur le vif et, de plus en plus, on le fait par l’entremise de caméras de surveillance. Cette technologie, tout comme les étiquettes d’IRF, est utilisée par un nombre de plus en plus élevé d’organisations pour améliorer la sécurité et décourager les voleurs potentiels. Même si ce sont des raisons parfaitement légitimes d’utiliser des caméras, les organisations devraient quand même s’assurer que leurs activités de surveillance enfreignent le moins possible le droit des personnes à la vie privée.
Dans le même ordre d’idées, nous avons diffusé il y a quelques semaines de nouvelles lignes directrices sur la vidéosurveillance, afin de donner le cap aux organisations quant à l’évaluation et à l’utilisation de la vidéosurveillance, et au respect du droit à la vie privée et de la loi.
Si nos lignes directrices peuvent constituer le palmarès des choses à faire en matière de vidéosurveillance, cette vidéo constituerait le palmarès des choses à ne pas faire.